Témoignages d’étudiants
Nous avons testé l’apprendre ensemble dans sept cours de premier cycle dans trois facultés de l’Université York durant l’année universitaire 2019-2020. Les commentaires des étudiants sur le potentiel éducatif du site ont été positifs, particulièrement en ce qi touchait la valeur des voix expérientielles en classe. De nombreux étudiants ont dit trouver que le matériel pédagogique proposé par l’apprendre ensemble validaient leurs propres expériences en matière de santé mentale. Cette plateforme offre aux institutions d’éducation des ressources pour atteindre leurs objectifs en matière de santé mentale.
Nous voulons en savoir plus sur l’impact de l’apprendre ensemble sur les apprenants et les éducateurs. Veuillez nous faire part de vos commentaires à : madness@yorku.ca
En raison de ma culture, nous ne parlons pas à propos de la santé mentale. Je croyais que ce n’était pas un vrai sujet. Le récit de Lanny m’a fait réaliser que l’ignorance se manifeste dans toute la société face aux enjeux liés à la santé mentale . Je veux en apprendre davantage sur la santé mentale. Étudiante de 3e année dans le programme Santé et société à l’Université York.
J’aime vraiment l’apprendre ensemble. Le site Web est facile à utiliser et je trouve le contenu très enrichissant. Étudiant de 4e année dans le programme de politiques en santé à l’Université York.
L’apprendre ensemble m’a présenté le contexte historique de la manière dont les normes, les croyances et les attentes sociétales s’infiltrent dans le discours des sciences psychologiques, dénigrant les expériences collectives ou la détresse. J’ai également acquis des connaissances précieuses sur le mouvement activiste des survivants psychiatriques, ce qui a approfondi mon intérêt pour les alternatives à la psychiatrie et comment cela pourrait influencer ma pratique dans ma communauté . Étudiante de 4e année dans le programme de politiques en santé à l’Université York.
Je crois que la sculpture de l’unité Regard psychiatrique dans le module Médecine et pouvoir est en soi très puissante. À mon avis, ça devrait être montré aux médecins et aux infirmières du monde entier qui travaillent avec les personnes souffrant de maladies mentales, afin qu’ils puissent se rendre compte des impacts émotionnels de leur traitement sur certaines personnes. Étudiant en sciences infirmières de 4e année à l’Université York.
Dana Allan et Alistair Scott-Turner soulignent les répercussions de la catégorisation dans le domaine des soins de santé et comment elle peut stigmatiser la maladie mentale en y ajoutant une connotation négative et invalidante. Cela a souligné la manière dont cette culture de catégorisation peut davantage nuire à l’estime de soi et à la santé des individus. J’ai compris qu’en adoptant uniquement une perspective biomédicale, je risquais d’ajouter à l’oppression que subissent ces personnes. Étudiant en sciences infirmières de 4e année à l’Université York.
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